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Photographie du contrat entre Louis XV et Ange-Joseph Aubert © DR

AJA,
moderne depuis des siècles

Aujourd'hui, si seuls les spécialistes ou les férus d'histoire de la couronne française se souviennent de l'orfèvre-joaillier Ange-Joseph Aubert, il faut pourtant rappeler qu'il fût l'un des plus grands artisans d'art du XVIII ème siècle.

Formé par son père à Avignon, le jeune homme, monté à Paris dans les années 1760, devint même l'un des plus illustres représentants de sa corporation, jusqu'à devenir l'orfèvre- joaillier attitré du roi Louis XV, par brevet, décerné le 15 novembre 1773. Logé dans les galeries du Louvre, près des peintres Chardin et Vernet, c'est même lui qui fût chargé de concevoir la couronne du sacre de Louis XVI !

Parmi ses très nombreux clients, la famille royale occupe donc une place prépondérante. Selon les écrits qui nous restent, Louis XVI, Marie-Antoinette, le comte et la comtesse de Provence, le comte et la comtesse d’Artois, Madame Élisabeth, et enfin Mesdames, tantes de Louis XVI, sont parmi ses acheteurs les plus actifs. Plusieurs des grands seigneurs et dames de la Cour - dont la comtesse Du Barry et la duchesse de Mazarin - apparaissent maintes fois dans les relations commerciales de l’orfèvre.

Ceci dit, comme on dirait de nos jours, Marie-Antoinette est sans conteste sa plus grande « fan ». Les historiens rapportent en effet qu'à partir de juin 1782, la reine s’adresse fréquemment au « Sieur Aubert » pour des commandes de parures souvent ornées de perles, de diamants, de médaillons, mais aussi pour des travaux de réparation et de transformation de bijoux, et parfois même pour des rachats de diamants. L’orfèvre lui fournit également plusieurs belles tabatières et bonbonnières...

Quand il meurt en 1785 dans sa ville natale d'Avignon, il laisse en revanche un héritage considérable, aussi bien matériel qu'intellectuel. Pensez, il a tout de même été le joaillier de trois rois : Louis XV, Louis XVI et le comte d'Artois (futur Charles X) !

La bague-hommage à Henri IV et à Louis XV. © DR

Un trait d'union
entre passé et présent

Méandres de l'histoire, des amoureux de l'art du XVIIIème siècle font renaître en 2022 la maison sous un nouveau nom, « AJA », plus moderne, mais qui entend toujours porter les valeurs de l'artisanat d'art en étendard. 

Une marque chargée d'histoire donc, mais non dénuée d'espièglerie, un trait qui se retrouve dans la manière de concevoir ses bijoux et ses messages. Véritables passerelles entre l'héritage familial et l'époque actuelle, les pièces sont un magnifique trait d'union entre passé et présent. Une définition de la modernité.

C'est pourquoi elles rencontrent autant de succès en France comme à l'étranger, où elles incarnent ce « luxe à la française » qui fait la force du patrimoine tricolore.

Le poinçon originel de A-J Aubert. © DR

AJA,
une philosophie de la joaillerie

Avec un tel héritage, avant de parler de revisiter ou de moderniser, il faut savoir faire preuve d'humilité. 

C'est pourquoi AJA «nouvelle manière » compte avant tout rendre hommage au travail de Ange-Joseph Aubert et à l'époque de sa gloire : le bien nommé Siècle des Lumières.

Le Louvre, Versailles, le Trianon, les jardins, les galeries et les appartements... Tout ce qui a fait la grandeur de cette époque  - et dont certains motifs datant de plus de 300 ans n'avaient pas été exploités jusqu'à présent - seront remis en lumière.

Mieux, cet ensemble patrimonial d'une richesse époustouflante, sera le cœur de l'inspiration des trois collections annuelles de la marque.

Pour autant, si AJA s'enorgueillit de son riche passé, ce n'est pas une marque qui sent la naphtaline ! Les bijoux AJA sont destinés à être portés et pas seulement regardés. Ils seront modernes aussi bien dans la conception que dans le sertissage et la façon. De la belle ouvrage, mais d'aujourd'hui. C'est là l'ADN d'AJA.

Dans le même ordre d'idée, si cette joaillerie ne sacrifie en rien à la qualité, elle veut être un luxe du quotidien, pas uniquement des grandes occasions. AJA c'est le luxe discret de la femme d’aujourd’hui. Celui qui l'accompagne du matin au soir et qui sert de signe de reconnaissance, voire d'appartenance.

Notre orfèvre, des doigts de fée au service de notre atelier à deux pas de la Place Vendôme.

© DR

AJA,
une maison engagée

Héritière d'un patrimoine et d'un savoir-faire ancestraux inestimables, AJA prend son rôle dans la conservation et le renouveau de l'artisanat d'art de tradition française très à cœur.

La maison s'engage à tous niveaux, des matières premières jusqu'aux boutiques, dans une démarche éthique et responsable de préservation de l'humain et de l'environnement.

Artisanat français : de par son histoire exceptionnelle, la maison AJA s'engage à promouvoir et favoriser la transmission de l'artisanat d'art français. Tous les acteurs engagés dans le processus de conception et de fabrication des bijoux AJA sont des professionnels reconnus, garants de l'excellence du luxe à la française. 

Sourcing impeccable : conformément aux lois en vigueur et à une exigence éthique qui lui est propre, AJA se fournit en diamants naturels non issus des conflits, l'or est extrait dans le respect du code du travail international ; et l'ensemble des pierres précieuses utilisées dans le cadre du façonnage et du sertissage sont parfaitement traçables du pays d'origine jusqu'au client final, certificat à l'appui.